Huit ans après la sortie du précédent album, AC/DC délivre Black Ice. Pour leur quinzième opus, le groupe australien est assez ravageur.

Les rythmes assez proches du blues et l’énergie qui apparaît nous surprennent. Avec une moyenne de 68 ans, c’est incroyable. Comment font-ils pour trouver les riffs qui paraissent encore aujourd’hui très détonnant?

Toujours est-il que le disque s’écoute bien, même très bien malgré quelques répétitions. Mais ces passages ne représentent vraiment rien face à la voix de Brian Johnson qui marque encore et toujours la particularité d’AC/DC.

Au final, ce CD est surprenant par sa jeunesse et la vieillesse de ses membres. Ils ont réussi à faire une musique actuelle, tout en gardant leur style. Brendan O’Brien, leur producteur, y est sûrement pour quelque chose.

Tracklist :
01 – Rock ‘N Roll Train – 04:21
02 – Skies on Fire – 03:34
03 – Big Jack – 03:57
04 – Anything Goes – 03:22
05 – War Machine – 03:10
06 – Smash ‘n’ Grab – 04:06
07 – Spoilin’ for a Fight – 03:17
08 – Wheels – 03:28
09 – Decibel – 03:34
10 – Stormy May Day – 03:10
11 – She Likes Rock ‘N’ Roll – 03:53
12 – Money Made – 04:15
13 – Rock ‘n’ Roll Dream – 04:41
14 – Rocking All The Way – 03:22
15 – Black Ice – 03:25

Retrouver l’album le 20 octobre dans vos magasins favoris.

Vous pouvez aussi avoir un aperçu de l’album sur leur site web ou leur MySpace.

Tout juste un an après la sortie de son premier album, Tom Morello alias The Nightwatchman sort son deuxième bébé country-folk rock.

Sur cet album, quelques petites nouveautés dans le son. En effet, un clavier fait son apparition pour rajeunir un peu la mélodie très typée de l’instrument du guitariste de Rage Against The Machine, quoique chargée d’effet.

En parlant de machine, c’est ce qu’il doit être. Entre tournée avec son mythique groupe et des actions dans Axis Of Justice, comment trouve-t-il le temps pour écrire un album, toujours aussi orienté politiquement?

La pochette est bien là pour montrer cet engagement et la présence de Serj Tankian sur un morceau accentue encore cette volonté.

Au final, Tom Morello nous livre quarante minutes de musique agréable à passer en début de soirée.

Tracklist :
01 – The Fabled City – 03:10
02 – Whatever It Takes – 04:11
03 – The King Of Hell – 03:13
04 – Night Falls – 03:47
05 – The Lights Are On In Spidertown – 03:21
06 – Midnight In The City Of Destruction – 04:53
07 – Saint Isabelle – 03:30
08 – Lazerus On Down (with Serj Tankian) – 03:34
09 – Gone Like Rain – 03:39
10 – The Iron Wheel – 02:40
11 – Rise to Power – 03:56

Retrouver l’album chez vos disquaires favoris.

Enfin n’hésitez pas à visiter le MySpace de l’homme de la nuit qui observe.

Après 31 articles sur des CD, 13 reviews de concerts, 40 groupes de musique, 7 salles, 3 pays, 1 groupe de musique qui devrait bientôt sortir son premier EP, EatMusic est fier de pouvoir fêter ses un an. Et oui déjà un an que des articles paraissent sur le site.

Articles qui ont été lus par plus de 1900 personnes dans 23 pays différents.

Le bon fonctionnement du site nous amène à signer pour un an de plus et à tenter d’apporter tout au long de cette nouvelle année des nouveautés. Le soutien de groupe de musique prendra une part plus importante dans le blog comme va bientôt le prouver le site de Diogenis.

En espérant toujours avoir votre soutien, « Longue vie à EatMusic »!

Pour son passage à Montréal, Sigur Ròs a décidé de jouer en plein air, sur le vieux port. Ce choix, était judicieux tant par l’envie qu’on a, à courir nu sous la pluie qui était absente, que pour la convivialité que l’on peut retrouver dans les festivals et tous spectacles hors salle.

C’est donc après le groupe Parachutes, leurs compatriotes Islandais, que les premières notes planantes se sont faites entendre.

Alternant entre des pistes du dernier album Með Suð í Eyrum Við Spilum Endalaust et de l’avant dernier Takk, le groupe a préféré présenter son dernier album qu’à sortir des sentiers battus.

Tout au long de l’heure quarante de concert, le public s’est laissé bercer par les ballades et réveiller par des morceaux qui sur scène sont bien plus violent que sur les albums. Toute cette musique était accompagnée par une alternance entre vidéos projetées sur un écran derrière le groupe et les fameuses boules lumineuses propre aux Islandais. Les effets entre la musique et le jeu de scène nous ont permis de pénétrer dans le monde magique et féérique de Sigur Ròs.

Au final, un souffle de confettis et un concert tout à fait réussi pour ces musiciens, qui continuent leur tournée avec une date au Zénith de Paris (le 15 Novembre). Avis aux amateurs!

Pour un concert de punk rock au Canada, rien de mieux qu’Anti-Flag. En effet, ces monstres du punk rock Américains, ont enflammé la salle.

En jouant des titres de leurs deux derniers albums, le groupe n’a pas arrêté et ne voulait pas s’arrêter. Avec un concert d’environ une heure et demi, deux similis rappels, les Pennsylvaniens n’ont à aucun moment hésité à faire participer le public.

Le public était composé principalement de jeunes mais au final, l’ambiance était très détendue et certains spectateurs n’hésitaient pas à embrasser le guitariste. Certains chantaient même à la place du bassiste.

De plus, le son était d’une bonne qualité, le Club Soda étant tout à fait adapté à ce genre de concert.

Pour le final, un petit jet de confetti est venu clore le concert, après un bain de foule pour le batteur.

Si vous aussi, vous avez envie de découvrir l’ambiance d’Anti-Flag, visitez leur site web ou leur MySpace.