Serj Tankian – Elect The Dead

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Premier album solo de Serj Tankian, le chanteur de Sytem Of A Down (SOAD), « Elect the Dead » ressemble étrangement à du SOAD. Pourquoi faire un projet solo si c’est pour être plus ou moins identique à celui de son groupe?

Pour Serj selon un interview diffusé sur OuïFM et bientôt sur OuïFM2, il avait écrit un grand nombre de chansons, et n’avait pas le temps avec l’organisation du groupe de composer pour toutes ces paroles. Alors que tout seul, il sait ce qu’il veut et ça va plus vite. Explication qui se tient. Mais passons aux choses intéressantes : l’album.

Alors comme vous avez pu vous en douter avec l’introduction, ça ressemble énormément à du SOAD. Mieux? Moins bien? Entre les deux. En effet, cet album aurait été une magnifique transition entre les trois premiers album de SOAD et les deux derniers.

Pour résumer, on a le droit, comme toujours, aux jeux de voix de Serj, à une musique toujours énergique et qui sait se faire douce. Il faut aussi remarquer les messages que Serj veut faire passer à travers ses chansons toujours engagées.

Un album donc sans surprises, mais qui s’écoute très bien et qui se fera une place parmi les sorties de la semaine (Coheed and Cambria, Oceansize, …).

Traklist :
01 – Empty Walls – 03:51
02 – Unthinking Majority – 03:47
03 – Money – 03:57
04 – Feed Us – 04:29
05 – Saving Us – 04:42
06 – Sky Is Over – 02:59
07 – Baby – 03:33
08 – Honking Antelope – 03:53
09 – Lie Lie Lie – 03:35
10 – Praise the Lord and Pass – 04:23
11 – Beethoven’s Cunt – 03:14
12 – Elect the Dead – 02:55

Dans les bacs le 22/23 octobre 2007.

Si vous souhaitez voir ce que ca rend grandeur nature, Serj Tankian sera en concert à Paris à l’Elysée Montmartre pour 29,70€.

Pour écouter quelques morceaux de son album solo, rendez-vous sur son MySpace.

Vous pouvez aussi retrouver de superbes clips sur son site, ainsi qu’une vidéo présentant son projet.

Lite – Filmlets

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Lite, groupe de rock instrumental japonais, est, je pense, ma plus grosse découverte musicale de l’année. Espérons qu’un jour, ils seront distribués en France et qu’ils passeront en concert. En attendant, on peut toujours, se procurer l’album en import AMAZON, et ca en vaut le coup.

En effet, Lite nous offre une instrumentale parfaite, pas de répétition, un rythme majestueux, enivrant et qui nous tient toujours à l’écoute.

Chaque morceau possède sa propre histoire, une alternance entre le jeu de guitare aiguë et les sonorités rondes de la batterie pour certains tandis que d’autres nous emporterons du début à la fin de la piste.

La légèreté est aussi une qualité de l’album, même les moments intenses passe avec légèreté grâce à quelques accords bien trouvés.

Si vous ne connaissez pas Lite, inutile d’essayer de le télécharger : d’une part, vous l’achèterez forcément après une écoute, et d’autre part vous ne le trouverez pas sur les réseau de P2P.

Tracklist :
01 – I work – 01:16
02 – contemporary disease – 06:01
03 – human gift – 03:42
04 – Re – 04:48
05 – dead leaf – 04:04
06 – on a gloomy evening – 04:08
07 – parallea – 02:31
08 – spiral gate – 04:27
09 – … still, it is quite around here – 05:54
10 – recollecton – 04:05

Bientôt un nouveau split EP avec Funanori : A Tiny Twofer.

Écoutez les sur leur MySpace ou allez visiter leur site officiel.

Coheed and Cambria – Nouveau Casino – 03 octobre 2007

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Le premier  compte rendu de concert du blog, à peine deux heures après être sorti de la salle, l’envie était trop pressante : PARTAGER ce moment intense …

Un corps à touffe arrive sur scène, ça y est Coheed and Cambria est en route pour un concert d’une heure trente.

Pour nous accueillir, la voix aiguë du chanteur commence à fredonner « Welcome Home » de « Good Apollo, I’m Burning Star IV, Vol.1 : From Fear Through The Eyes Of Madness » (GAIBS),titre parfait pour cette petite salle qu’est le Nouveau Casino. A peine commence-t-on à se sentir à la maison que « The Suffering » – toujours sur GAIBS– décolle nos petits pieds du sol.

La suite n’est qu’un enchaînement de titres choisis parmi les anciens albums mais aussi le nouveau : « Good Apollo, I’m Burning Star IV, Vol.2 : No World For Tomorrow ».

Au bout d’une heure, le groupe commence carrément à délirer. Une ambiance humoristique s’installe sur scène. Et là, le rappel, timide, mais on sent que le public en reveut.

En guise de rappel et pour clôturer le concert, on a le droit à « The Willing Well IV -The Final Cut »suivi d’une impro totalement folle  de vingts minutes entre le chanteur et le guitariste. Claudio Sanchez gratte les cordes avec sa bouche, joue derrière sa tête et après le solo du batteur, carrément avec une autre guitare.

Bref un concert réussi pour le quatuor de Coheed & Cambria.


En première partie : les français Borderline.


Écouter Coheed and Cambria sur leur MySpace.

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